Le mirabellier sauvage est un arbre qui pousse spontanément en Lorraine et que l’on peut retrouver dans des vergers ou dans les jardins. Nous allons voir qu’il peut s’adapter partout grâce à un porte-greffe qui fera de lui un bel arbre productif.
La plantation et l’entretien d’un mirabellier sauvage
Le mirabellier sauvage est un arbre peu exigeant, mais qui requiert tout de même des conditions pour son bon développement. Vous devez l’installer dans des conditions ensoleillées ou à mi-ombre, dans un sol ordinaire ou compact. En revanche, il faut fortement prêter attention aux conditions de plantation de son porte-greffe, qui permet une grande souplesse en termes de terrain, de climat et d’environnement. La plantation doit se faire durant l’hiver, hors période de gel, mais cela se passe de la même manière qu’un mirabellier classique. C’est un arbre facile à cultiver, qui nécessite d’être arrosé seulement les deux premières années ainsi que les périodes de sécheresse.
La taille du mirabellier sauvage
La taille d’un arbre est importante puisqu’elle sert à renforcer les branches, limiter son élancement et obtenir des fruits plus gros. Ils peuvent donc être conduits de différentes façons : les formes libres, les formes palissées ou les formes en arcures. Il est donc nécessaire de les tailler en fonction de ce que vous souhaitez, lorsque le mirabellier est jeune. En été, il s’agira surtout de tailles de fructification et de nettoyage.
Les maladies et parasites du mirabellier sauvage
Si le mirabellier est bien cultivé et fertilisé, il aura des facilités pour se défendre contre les parasites et agents pathogènes. C’est pour cela, qu’il est important de respecter les exigences de sol et de climat. Cependant, les maladies cryptogamiques et les maladies bactériennes pourront être traitées par des applications de bouillie bordelaise préventive.
Vous savez désormais tout sur le mirabellier sauvage !